En somme, si nous contredisons les médecins alors qu’Allah a fait qu’ils nous dirigent et nous demandent de nous soigner et de nous sauver, même s’il est, certes, Celui qui guérit, les autorités musulmanes et non musulmanes sont toutes d’accord sur leurs ordres et mesures de prévention préconisés ci-dessus.
Notre refus ne nous rapporte que du mal. Et si vous revisitez les encyclopédies de la médecine concernant notre religion, vous y trouverez beaucoup de points concordants que les médecins vous ordonnent d’observer. Sauf que la médication par le vin et autre est formellement interdit dans notre religion, sauf pour enlever un nœud dans la gorge.
Rien n’est plus solide dans la religion que l’acceptation de la volonté divine et la soumission à l’ordre d’Allah. Grâce à la force et la puissance d’Allah, les colons nous ont rendu beaucoup de services comme l’importation des livres par leurs bateaux qui, avant, étaient difficile, l’expansion de la religion et des mosquées dans des zones où on ne pouvait même pas adorer le Seigneur, la paix et la sécurité dans les zones très craintes et de l’eau dans les zones arides, et tant d’autres utilités qui obligent une reconnaissance aux intermédiaires. Car la reconnaissance aux intermédiaires est une obligation.
Nous vous recommandons la prière dans les heures propices et la tolérance. Qu’Allah soit allié et soutien pour nous et vous et nous accorde une fin heureuse.
Cette lettre a été écrite à la fin du mois musulman « Zul-hidjia » coïncidant au dernier jeudi de l’an 1337 de l’année hégirienne. Que la paix et le salut soient sur le prophète Mohamed. Cette date correspond avec l’année 1919 de la naissance de Jésus Christ. Que le salut et la paix soient sur lui ! Fin »
- Endoctrinement des enfants / Hidâya Al-wildân
Spécialiste de la théologie et du droit islamique, enseignant, éducateur, rénovateur et réformateur, EL Hadji Malick SY, l’auteur de ce poème fut le symbole vivant d’une institution scientifique et vertueuse dont la somme des qualités et des composantes donnent une vie équilibrée.
C’est pourquoi, mesurant sa responsabilité face à cette jeunesse, il dirigea toutes ses préoccupations vers cette force dormante sur laquelle repose l’avenir de toute une nation. Ainsi, il commença cette œuvre théologique pour les endoctriner, c’est-à-dire, cultivé en eux les fondements de la foi et de la loi islamiques. La première consiste en une observance intérieure et la deuxième en une observance extérieure. Elles sont inséparables et font de l’homme un élément de Dieu et de la société.
Dès le principe, il mentionne le courant théologique sur lequel il s’appuie pour mener ce travail, c’est celui de l’Ash’arisme qui est l’incarnation des gens de la tradition prophétique « Ahl Al-jamâ’ati Was-sunna ». Il confirme son appartenance à ce courant et magnifie leur précellence :
Mâlik, l’humble nécessiteux qui aspire à la miséricorde de Celui qui détermine tout ce qu’il veut,
De courant asharite et de rite mâlikite, que Le Souverain l’assiste dans ce qu’il souhaite réaliser, dit…
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Il est en étroite conformité avec la Sunna. Ah, excellent soit ce courant !
